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                  Première Division 5eme, 40 points 
                  54 Buts Pour 49 Buts Contre 
                   
                  Président : Monsieur Aillaud 
                  Entraîneurs : Roger Rolhion puis (février 56) Jean Robin 
                  Equipe-Type: Poncet - M.Gransart, Johansson (Suedois),Molla - Marcel, Mésas,
                  - Rustichelli, Constantino (Bresilien),Andersson (Suedois naturalisé Français
                  en 1956) ),Scotti, Palluch 
                  Remplaçants: Lang, Prédal, Salem,Chicha, A.Durand, Le Gall, Lombard, Luzy, Mercurio,
                  Nielsen (Danois), Tivoli. 
                  Buteurs: Andersson (21), Rustichelli (12), Scotti (6), Constantino (4), Chicha
                  et Marcel (3), A.Durand et M.Gransart (2), Mercurio, Molla et Palluch (1)
                  et un but csc du Niçois Poitevin et du Messin Burda. 
                   
                  Les Equipes de la Saison | 
                 
              
             
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            | Johansson Gransart Poncet Molla Scotti Mesas Rustichelli Marcel Andersson
            Constantino Palluch | 
           
          
            
            
              
                
                  | Résumé de la Saison | 
                  Toutes les rencontres de l'OM saison 1955/1956 en détail | 
                 
                
                  
                        Il est indéniable que cette saison a été influencée par l'épreuve nouvelle,
                        la Coupe d'Europe qui connaissait sa première édition, une équipe comme
                        Reims se consacrant à cette compétition, d'autres comme Nice et le Racing
                        faisant tout pour y participer la saison suivante. 
                         
                        Ce championnat extrêmement disputé fut marqué par le déclin du LOSC. 
                         
                        L'OM réalisait une saison avec des séries de victoires, ponctuées de séries
                        de défaites. 
                         
                        Son début de championnat allait être correct sous la houlette de Jean Rolhion,
                        mais une série de revers entraînera la promotion de Jeannot Robin, avec
                        une fin de saison en boulet de canon 
                        Dommage car il viendra finir à 3 points de Nice après avoir fini avec 6
                        victoires et un match-nul, de quoi faire dire à Jeannot Robin: 
                        "Encore 2 ou 3 matchs et on finissait Champion". | 
                  
                  
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                        Nice qui devait l'emporter fut le plus souvent leader (30 journées sur
                        34), mais il ne put jamais décramponner des équipes comme Lens ou empêcher
                        des retours comme ceux de Monaco et de Saint-Etienne.  
                         
                        C'est dans la première partie du championnat que les Niçois prirent le
                        plus de points ; ensuite ils profitèrent de l'effondrement de leurs rivaux
                        directs. | 
                       
                      
                        | Ainsi, après sept journées, Nice comptait 13 points, en possédait trois
                        d'avance sur le Racing et Lyon, tandis que Reims venait tout juste d'obtenir
                        sa première victoire et ne comptait alors que 5 points; Mais à la quatorzième
                        journée, Lens qui venait de gagner six matches de suite passait en tête
                        avec 20 points, précédant Nice 19, Reims 18 et Racing 16 ; à la fin des
                        matches aller, Reims, auteur d'une remontée stupéfiante, et Lens étaient
                        en tête, Nice 3e, l'O.M. 4e, et Racing 5e. | 
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                        A la 21e journée, il y avait encore trois leaders : Reims, Nice et Lens
                        et Sedan était quatrième.  
                         
                        C'est alors que se produisit la cassure ; tandis que Nice et Lens faisaient
                        une course à peu près identique -Lens termina à un point de Nice- Reims
                        connut une étonnante dégringolade. 
                         
                        En sept journées -du 22 janvier au 5 avril - il ne prit qu'un seul point,
                        étant battu à Sochaux 4-3, par Toulouse 1-0, à Lens 4-1, à Monaco 2-1,
                        à Marseille 1-0, par Saint-Etienne 2-1 et ne faisant que match nul, chez
                        lui, devant Lille, en pleine déconfiture pourtant. | 
                       
                      
                        Reims pris par la Coupe d'Europe dans laquelle il trouva de bien belles
                        consolations, ne termina cette saison-là qu'à la dixième place ; jamais
                        il n'avait été aussi mal classé depuis 1946 !  
                         
                        En Coupe d'Europe, après avoir éliminé les Danois d'Aarhus, les Hongrois
                        de Voros Lobogo (4-2 à Paris, 4-4 à Budapest après avoir mené 4-1), les
                        Ecossais d'Hibernian, Reims jouait la finale au Parc des Princes contre
                        le Real devant 40 000 spectateurs. Il mena 2-0 et 3-2, mais e fit coiffer
                        4-3. | 
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                        Il est possible -non pas sur ce match-là, mais sur l'ensemble de la saison-
                        que les tractations Reims-Real au sujet du transfert de Kopa aient troublé
                        l'esprit des Champenois. 
                         
                        En bas du tableau, Troyes qui, sauvé la saison précédente, demeurait inéluctablement
                        cloué à la dernière place et qui allait descendre quelques jours seulement
                        après avoir joué la finale de la Coupe contre Sedan, vainqueur 3 à 1. 
                         
                        Bordeaux devait connaître un passage à vide aussi étonnant que long : trois
                        points seulement en 12 matches, du 4 décembre au 24 avril. 
                         
                        Ce qui le relégua à l'avant-dernière place et le précipita en Division
                        II. | 
                       
                      
                        Celui du LOSC enfin, qui accumula les défaites ; trois de suite entre le
                        16 octobre et le 1er novembre ; cinq de suite entre le 27 novembre et le
                        8 janvier ; six de suite entre le 1er avril et le 10 mai 1956. 
                         
                        Lille devait pour la seconde fois consécutivement disputer le barrage et
                        descendre en Division II, vaincu par Valenciennes (0-1, 2-1, 0-4). 
                         
                        En Coupe, l'OM sombre au Parc des Princes face à Nancy et ses lutins 6
                        à 1. 
                         
                        En championnat, il se venge en gagnant 4 à 2 mais le match est arrêté car
                        le public a envahi le terrain. | 
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                        Gunnar Andersson est natularisé et joue avec France B contre l'Italie au Vélodrome (victoire 2 à 1 sans but de Gunnar). | 
                       
                      
                        Coupe de France 
                        32eme de finale : OM-US Montargis 4-1  
                        16eme de finale : OM-Strasbourg 2-0  
                        8emede finale : Nancy-OM 6-1 
                        Buteurs : Andersson (4), Marcel, Rustichelli et Scotti (1) | 
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                        EQUIPE TYPE 
                        1955/1956 | 
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