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OM - Brest 1 à 1 (1 - 1)
39598 spectateurs Arbitre : Tony Chapron
Buts Poyet 5e, A.Ayew 19e
OM : Mandanda (cap.) - Azpilicueta, Nkoulou, Diawara, Morel - Amalfitano,
A. Diarra puis Omrani 83e, Lucho puis Cheyrou 59e- Valbuena puis J.Ayew
59e, A. Ayew - L. Rémy
Brest : Elana - Baysse, Zebina (cap.), Gentiletti, Lorenzia - Poyet, Guidileye
puis Ewolo 64e, Culma, Lesoimier - N. Roux puis Touré 89e, Ayité puis Licka
85e |
L'OM a été tenu en échec par une modeste formation brestoise
Parfaite entame de match des Brestois, qui ont profité d'une erreur de
Mandanda pour marquer leur premier but à l'extérieur cette saison.
Le gardien marseillais ne parvient pas à maitriser une frappe pourtant
sans grand danger de Poyet aux 20 mètres
Une baisse physique a permis aux Olympiens, approximatifs à nouveau, de
recoller au score sur un joli mouvement conclu par André Ayew, toujours
lui, qui s'est jeté sur un centre de Rémy pour marquer.
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Pour la première fois de la saison, les Marseillais ont pris conscience
que la saison serait compliquée.
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La pilule est aussi très difficile à avaler pour Didier Deschamps.
"Le match a été difficile dès le départ. La mise en route a été compliquée,
sans doute à cause de ce que l’on a connu mercredi. Brest a joué là-dessus
en jouant vite et en profondeur. On est revenus mais sur la seconde période,
on n’a pas eu la flamme. On ne les a pas bousculés et il y a eu très peu
d’occasions. On a manqué de jus. On en avait mercredi mais aujourd’hui
c’était moins le cas.
Les joueurs enchaînent les matches et c’est dur de faire des efforts comme
ceux de mercredi. " |
"On manquait de fraîcheur pour changer de rythme, leur mettre un peu
plus la pression, notamment sur la seconde période. Je me doutais que l’entame
serait difficile après un match de Champions League mais par la suite on
n'a pas su changer de rythme."Poursuivait l'entraîneur olympien.
Il va falloir que l'on se batte, et jusqu'au bout ! Il faudra de la personnalité
et du caractère. Pour le moment, les résultats tendent à prouver le contraire..."
Vincent Labrune, lui, essaye d’entrevoir une lueur d’espoir.
"La trêve internationale arrive au bon moment, note le président de
l’OM. Elle va nous permettre de panser les plaies aussi bien sur le plan
physique que moral."
Le début d’une longue thérapie |
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