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OM – Francfort : douche froide dans le volcan
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| Un stade Vélodrome chaud bouillant. Un volcan en fusion avec son équipe.
Dix ans et sept mois ans que l'OM n'avait plus disputé un match de Ligue des Champions devant son public. Ce 13 septembre sera-t-il un jour porte-bonheur ? Avec le retour de la victoire dans la plus prestigieuse des coupes européennes ? Tout le monde veut y croire tant la défaite a été belle la semaine précédente à Tottenham. Un hymne qui donne des frissons dans un stade plein comme un œuf (62 500 spectateurs). Droit au but s'affiche en grand dans le haut du virage sud, le message du tifo ne peut pas être plus clair. Des frissons et des regrets Entendre résonner la grande musique de la Ligue des champions dans le chaudron olympien, quelle émotion. Un but de Francfort juste avant la mi-temps transforme le jour de fête en soir de défaite. Comment l’expliquer sans transition ? Fatigue, manque de réalisme, mauvais choix tactique, blessures, pression. Peu importe le mot d’excuse, il manque de crédibilité et surtout de réalisme. Pour gagner, il faut marquer. Alexis Sànchez ne peut pas tout faire tout seul. Le capitaine Dimitri Payet, à bout de souffle, ne l’a guère aidé. Trop tard pour s’apitoyer, s’appesantir, refaire le match. Il faut se concentrer sur la rencontre de ce dimanche après-midi contre Rennes. La victoire comme remède Continuer à gagner en Ligue 1 sera le meilleur remède pour retrouver des forces en C1 contre le Sporting Portugal le 4 octobre à la maison. Ce sera à 18 h. A l’heure de l’apéritif, on espère trinquer joyeusement pour oublier la gueule de bois à l’allemande. |
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